discours simple

Häufig gestellte Fragen

Can I have visitors during my stay in the clinic? What can I take with me to the clinic? Can I go home in between? Anyone who comes to us for inpatient therapy for the first time has many questions. As a relative or interested person, many questions can also arise in relation to mental illnesses. We have compiled the most important questions and answers for you here.

Auto-assistance

Il n'est pas toujours facile de définir la limite entre des changements ou des restrictions temporaires de sa sexualité et un trouble sexuel. La sexualité est un facteur complexe et implique à la fois le corps et le psychisme – de nombreuses causes externes peuvent avoir un effet négatif momentané sur la vie sexuelle. Des phases occasionnelles de manque de désir ou des difficultés à atteindre l'orgasme sont normales et arrivent à de nombreuses personnes.

L'une des principales caractéristiques d'un trouble sexuel est que les symptômes persistent pendant au moins six mois et génèrent une souffrance : la sexualité habituelle n’est plus assouvie. Des problèmes dans le couple, des répercussions psychiques ainsi qu'une situation de vie généralement difficile en résultent.

Les déficits intellectuels accompagnent les personnes concernées pendant toute leur vie. Selon le degré de gravité du déficit intellectuel et son intensité, des mesures thérapeutiques existent pour améliorer la qualité de vie:

  • Ergothérapie, en respectant les niveaux de performance de chacun
  • Thérapie par le sport et les mouvements
  • Exercices de physiothérapie
  • Accompagnement socio-thérapeutique avec intégration dans l’environnement social
  • Entraînement des facultés cognitives en fonction du degré du déficit intellectuel
  • Entretiens psychologiques de soutien, dans la mesure où les capacités cognitives et de communication sont suffisantes pour cela
  • Épreuves de tolérance à l'environnement actuel ou nouveau, y compris des épreuves de travail dans un atelier pour personnes handicapées.
  • Psychopharmacothérapie en cas de troubles prononcés du comportement ou de troubles psychiques associés tels que des syndromes dépressifs.

Il existe plusieurs approches pour prévenir une rechute. Dans le cadre du traitement de l'addiction, on cherche à savoir quelles circonstances de vie ont favorisé la dépendance. Des stratégies sont alors développées pour faire face à ces facteurs très personnels.

En outre, il existe quelques stratégies générales pour éviter les rechutes:

  • La fréquentation régulière d'un groupe d'entraide permet d'échanger des expériences avec d'autres personnes concernées, de se motiver et de s'entraider.
  • Le cerveau s'est habitué à la sensation de récompense après consommation de la substance addictive. Si elle n'est plus consommée, un vide se crée. De nouvelles habitudes, des hobbies ou des intérêts peuvent alors combler ce vide.
  • Le stress et les contraintes familiales ou professionnelles augmentent le risque de rechute. Les spécialistes peuvent indiquer des moyens de gérer ce stress.
  • Dans certains cas, l'environnement social a favorisé la dépendance. Il faut alors s'interroger profondément sur les personnes et les lieux qui font obstacle à une vie sans dépendance.
  • Certains jours, l'envie de consommer la substance addictive sera envahissante. Un plan d'urgence, établi au préalable, peut alors aider à guider son propre comportement dans ces moments où le risque de rechute est élevé.

Le traitement d'un trouble du sommeil varie en fonction de sa cause. S'il s'agit d'un symptôme d'une autre maladie, celle-ci est d'abord traitée. Si c'est le sommeil lui-même qui pose problème, une thérapie comportementale ou du sommeil sera souvent la solution. Il s'agit également d'améliorer l'hygiène du sommeil, c'est-à-dire un comportement qui favorise un bon sommeil. Les personnes concernées peuvent y concourir:

  • Renoncer à faire la sieste durant la journée
  • Dormir dans une chambre à coucher fraîche, sombre et bien aérée, utilisée uniquement pour dormir
  • Se lever tous les jours à la même heure
  • Se créer un rituel de sommeil (ex. : séance de yoga, tasse de thé, quelques pages à lire)
  • Pas de repas lourds le soir, pas d'alcool ni de nicotine
  • Ne se coucher que si l'on est vraiment fatigué
  • Renoncer à la caféine à partir du déjeuner
  • Pas d’appareils électroniques ni de télévision dans la chambre
  • Pratiquer un exercice physique régulier
  • Appliquer des techniques de relaxation (ex. : training autogène, méditation)

L’agitation mentale empêche souvent les personnes de dormir. Les conflits permanents, le stress, les soucis et le surmenage peuvent également nuire au sommeil. Il est conseillé de chercher les raisons concrètes de ce stress et de trouver une meilleure façon de le gérer. Une psychothérapie peut notamment y contribuer.

Un traitement réussi commence par la reconnaissance de votre dépendance. Même si cet aveu est douloureux et parfois honteux, il vous permet d'agir sur la situation et de faire face à votre maladie.

Le sevrage, au cours duquel le corps se débarrasse des substances toxiques, est suivi de la déshabitude. Lors de ce sevrage psychique, vous apprenez comment organiser votre vie sans la substance addictive. Certains facteurs de protection peuvent vous y aider : une gestion positive du stress et des problèmes, un environnement de soutien, la possibilité d'organiser vous-même votre vie, une image positive de vous-même et une haute résistance au stress. Dans cette phase de déshabitude, nous travaillons de manière ciblée sur ces différents facteurs.

La fréquentation de groupes d'entraide peut également être bénéfique, car vous rencontrerez des personnes ayant vécu les mêmes expériences que vous et vous vous sentirez peut-être compris. Vous pouvez trouver plus d'informations sur le sujet de l'auto-assistance sur curamenta.

Le succès du traitement dépend de votre niveau d’implication. Il est donc crucial d'admettre que vous êtes malade. Ce constat est difficile, précisément parce qu'un trouble alimentaire est lié à la honte, au sentiment de culpabilité, au secret ou encore au contrôle de soi. Profitez de l'aide professionnelle disponible dans le cadre de votre traitement pour vous confronter honnêtement et sérieusement à vos problèmes – même ceux n’étant pas directement liés à la maladie.

Dans le cadre du traitement, vous apprendrez une nouvelle approche de l’alimentation, que vous pourrez renforcer vous-même. Le fait de manger régulièrement et en conscience, de percevoir la sensation de satiété et le plaisir favorisent le retour à un comportement alimentaire normal.

Il est également utile d'échanger avec d'autres personnes concernées.

L’important pour les personnes concernées est de prendre conscience de la maladie, de l’accepter et de souhaiter y faire face. L’habitude d’éviter les choses ou les situations anxiogènes peut renforcer davantage les angoisses ou phobies. Les affronter peut s’avérer un entraînement bénéfique contre ces peurs elles-mêmes, bien que cette étape représente un défi de taille pour de nombreuses personnes concernées.

Les personnes qui recherchent une assistance médicale en cas de peurs ou de phobies ne font pas preuve de faiblesse personnelle : elles souhaitent simplement gérer la maladie. L’environnement, la famille et/ou les amis du patient sont donc souvent impliqués. Ils peuvent apporter un soutien précieux. Par ailleurs, la fréquentation de groupes d’entraide pour échanger avec d’autres personnes concernées donne de bons résultats chez certains patients.

Des techniques de relaxation telles que le yoga, le training autogène ou la relaxation musculaire progressive peuvent également être utiles dans le cadre d’une thérapie. Il est généralement recommandé de pratiquer une activité sportive, notamment les sports d’endurance, comme la course à pied ou le vélo.

Pour les personnes souffrant d'un trouble sexuel, Il est particulièrement important de parler ouvertement du problème. La sexualité reste un sujet fort tabou que l’on tait – cette ouverture peut aider si le trouble entraîne des problèmes dans le couple, ou si des problèmes dans le couple sont responsables du trouble.

En principe, il convient de trouver la cause des problèmes d'endormissement persistants. Ainsi, des mesures ciblées, une thérapie ou des modifications du mode de vie permettent de lutter contre les troubles du sommeil à long terme. Les problèmes d'endormissement sont souvent renforcés par l'inquiétude de ne pas pouvoir dormir, et donc de ne pas être pleinement efficace le lendemain. Les personnes concernées doivent alors essayer de se détendre autant que possible, même si c'est précisément là que réside la difficulté. Les recommandations suivantes peuvent être utiles:

  • Se lever du lit et se distraire avec une activité relaxante
  • Faire des exercices de respiration
  • Écrire ses pensées, ses soucis et son état d'esprit pour les faire sortir de sa tête
  • Écouter un podcast calme, méditer ou écouter des sons relaxants comme le bruit de la mer
  • Lire quelque chose de simple, qui n'excite ou n’énerve pas

D'un point de vue médical, le sevrage à domicile est fortement déconseillé. Le sevrage consiste à libérer le corps de la substance addictive. Selon la substance addictive, de graves symptômes physiques peuvent apparaître. Un sevrage devrait donc toujours être réalisé dans le cadre d'un traitement psychiatrique hospitalier. Il est en outre plus facile de faire face à la maladie en dehors de l'environnement habituel, étroitement lié à la dépendance. En outre, les risques liés au sevrage sans prise en charge sont très élevés.

Les somnifères, même à base de plantes, ne devraient jamais être pris sans surveillance médicale, ni sur une longue période. Le risque de dépendance est très élevé. Même les médecins n'utilisent généralement les somnifères que comme solution intermédiaire à court terme. Chez les personnes en bonne santé, le rythme naturel du sommeil et de l'éveil se régule de lui-même : c'est pourquoi l'objectif premier en cas de troubles du sommeil est d'identifier la maladie qui en est la cause et de la soigner.

Lors d'un sevrage à l’alcool, des symptômes de sevrage physiques, d'une part, et psychiques, d'autre part, peuvent apparaître. Les symptômes physiques les plus fréquents sont les tremblements, la transpiration, l'agitation, les nausées, les maux de tête, les troubles du sommeil, l'augmentation de la pression artérielle et les convulsions.

Une forme particulièrement grave de symptôme est le delirium tremens lié à l'alcool (« délire alcoolique »), qui se caractérise par des troubles de la mémoire à court terme, de l’hyperventilation, un dérèglement du système cardio-vasculaire ainsi que par des troubles de la conscience pouvant aller jusqu'au coma. Cette complication potentiellement mortelle peut survenir lorsqu’une consommation d'alcool longue et régulière est brusquement arrêtée.

Les symptômes psychologiques du sevrage comprennent des états dépressifs, de l'anxiété, des problèmes de concentration, des sautes d'humeur et de l'agressivité.

Le sevrage alcoolique devrait toujours se faire sous surveillance médicale.

Palpitations cardiaques, vertiges, difficultés respiratoires: les symptômes de l’anxiété aiguë ou des crises de panique sont variés et durent généralement de quelques minutes à une demi-heure. Les personnes concernées peuven : soit se rendre dans un service d’urgence disposant d’une ambulance psychiatrique; soit essayer de s’aider elles-mêmes avec des mesures simples, comme des exercices de respiration (par exemple avec la technique 4-6-8, qui consiste à inspirer pendant quatre secondes, à retenir sa respiration pendant six secondes, puis à expirer pendant huit secondes). Une autre mesure d’auto-assistance consiste à ne pas réprimer ni contrôler le sentiment, mais à accepter la crise de panique: il peut également être utile de chercher une distraction, par exemple en s’adressant à des personnes ou en se concentrant sur une activité particulière.

De nombreuses causes peuvent être à l'origine de dysfonctions sexuelles, dont notamment:

  • Des causes physiques, telles que les maladies cardiovasculaires, les changements hormonaux, le diabète, les interventions chirurgicales sur les organes sexuels (par exemple l'ablation de l'utérus/de la prostate), les cancers, les rhumatismes ou la maladie de Parkinson. Les douleurs physiques lors des rapports sexuels, causées par exemple par des inflammations, peuvent également entraîner des dysfonctions sexuelles.
  • La prise de médicaments peut provoquer des effets secondaires entraînant des dysfonctions sexuelles: les antidépresseurs et les contraceptifs à base d’hormones réduisent la libido, par exemple.
  • La consommation excessive d'alcool et la prise de drogues comme la marijuana peuvent diminuer le désir ou l'excitabilité sexuelle.
  • Des causes psychologiques telles que la peur d'une grossesse ou le stress, le deuil et les conflits peuvent altérer la fonction sexuelle.
  • Des problèmes dans le couple peuvent également être à l'origine de dysfonctions sexuelles. Les disputes permanentes ou une routine monotone, le tabou au sujet des désirs sexuels ou encore le manque de tendresse ont un effet négatif sur le désir, l’excitation et la capacité à atteindre l'orgasme.