discours simple

Häufig gestellte Fragen

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Traitement

Il n'est pas toujours facile de définir la limite entre des changements ou des restrictions temporaires de sa sexualité et un trouble sexuel. La sexualité est un facteur complexe et implique à la fois le corps et le psychisme – de nombreuses causes externes peuvent avoir un effet négatif momentané sur la vie sexuelle. Des phases occasionnelles de manque de désir ou des difficultés à atteindre l'orgasme sont normales et arrivent à de nombreuses personnes.

L'une des principales caractéristiques d'un trouble sexuel est que les symptômes persistent pendant au moins six mois et génèrent une souffrance : la sexualité habituelle n’est plus assouvie. Des problèmes dans le couple, des répercussions psychiques ainsi qu'une situation de vie généralement difficile en résultent.

Les déficits intellectuels accompagnent les personnes concernées pendant toute leur vie. Selon le degré de gravité du déficit intellectuel et son intensité, des mesures thérapeutiques existent pour améliorer la qualité de vie:

  • Ergothérapie, en respectant les niveaux de performance de chacun
  • Thérapie par le sport et les mouvements
  • Exercices de physiothérapie
  • Accompagnement socio-thérapeutique avec intégration dans l’environnement social
  • Entraînement des facultés cognitives en fonction du degré du déficit intellectuel
  • Entretiens psychologiques de soutien, dans la mesure où les capacités cognitives et de communication sont suffisantes pour cela
  • Épreuves de tolérance à l'environnement actuel ou nouveau, y compris des épreuves de travail dans un atelier pour personnes handicapées.
  • Psychopharmacothérapie en cas de troubles prononcés du comportement ou de troubles psychiques associés tels que des syndromes dépressifs.

Les peurs et les phobies sont des maladies psychiques graves qui nécessitent une aide et un traitement professionnels. En raison des nombreux facteurs différents qui peuvent conduire à la maladie, il est difficile pour les personnes concernées d’en identifier seules les causes et de prendre des contre-mesures efficaces.

Parmi les différentes méthodes de traitement, la thérapie comportementale s’est avérée particulièrement prometteuse et peut être soutenue par l’administration de médicaments selon la gravité de la maladie. Une thérapie psychologique en profondeur, pratiquée par des psychothérapeutes ou des psychiatres, peut également être indiquée chez certaines personnes atteintes.

Au-delà du traitement professionnel, l’exercice physique régulier, le sport ainsi qu’un mode de vie des plus sains se sont avérés utiles. Les techniques de relaxation, telles que les exercices de respiration, le yoga, le training autogène ou la relaxation musculaire progressive sont tout aussi bénéfiques.

Le succès du traitement dépend de votre niveau d’implication. Il est donc crucial d'admettre que vous êtes malade. Ce constat est difficile, précisément parce qu'un trouble alimentaire est lié à la honte, au sentiment de culpabilité, au secret ou encore au contrôle de soi. Profitez de l'aide professionnelle disponible dans le cadre de votre traitement pour vous confronter honnêtement et sérieusement à vos problèmes – même ceux n’étant pas directement liés à la maladie.

Dans le cadre du traitement, vous apprendrez une nouvelle approche de l’alimentation, que vous pourrez renforcer vous-même. Le fait de manger régulièrement et en conscience, de percevoir la sensation de satiété et le plaisir favorisent le retour à un comportement alimentaire normal.

Il est également utile d'échanger avec d'autres personnes concernées.

L’important pour les personnes concernées est de prendre conscience de la maladie, de l’accepter et de souhaiter y faire face. L’habitude d’éviter les choses ou les situations anxiogènes peut renforcer davantage les angoisses ou phobies. Les affronter peut s’avérer un entraînement bénéfique contre ces peurs elles-mêmes, bien que cette étape représente un défi de taille pour de nombreuses personnes concernées.

Les personnes qui recherchent une assistance médicale en cas de peurs ou de phobies ne font pas preuve de faiblesse personnelle : elles souhaitent simplement gérer la maladie. L’environnement, la famille et/ou les amis du patient sont donc souvent impliqués. Ils peuvent apporter un soutien précieux. Par ailleurs, la fréquentation de groupes d’entraide pour échanger avec d’autres personnes concernées donne de bons résultats chez certains patients.

Des techniques de relaxation telles que le yoga, le training autogène ou la relaxation musculaire progressive peuvent également être utiles dans le cadre d’une thérapie. Il est généralement recommandé de pratiquer une activité sportive, notamment les sports d’endurance, comme la course à pied ou le vélo.

Pour les personnes souffrant d'un trouble sexuel, Il est particulièrement important de parler ouvertement du problème. La sexualité reste un sujet fort tabou que l’on tait – cette ouverture peut aider si le trouble entraîne des problèmes dans le couple, ou si des problèmes dans le couple sont responsables du trouble.

Selon le diagnostic, les troubles de la fonction sexuelle peuvent être traités par des médicaments. Il existe toutefois d'autres possibilités intéressantes. Si la personne concernée présente des troubles psychiques, notamment en raison d'expériences traumatisantes, un traitement psychothérapeutique individuel est alors à envisager. Si la cause du trouble sexuel n'est pas liée à une maladie physique ou psychique, des thérapies sexuelles, comportementales ou de couple peuvent être prescrites.

Les approches de traitement psychosocial se sont révélées plus efficaces que l'utilisation de médicaments. Elles peuvent être utilisées pour traiter les causes physiques et psychologiques du dysfonctionnement. En effet, au-delà du retour à la normale des fonctions sexuelles, il peut être utile d'élargir la compréhension de la sexualité et de permettre également d'autres formes de communication physique. Comme les médicaments font également partie des causes possibles de trouble sexuel, un changement ou une adaptation de la posologie peut apporter une solution après consultation chez le médecin.

L’hyperphagie est une maladie psychique. Il est donc difficile, voire impossible, pour les personnes concernées de la maîtriser sans l'aide d'un professionnel ; notamment parce que la cause du trouble alimentaire englobe généralement plusieurs facteurs, à savoir le comportement alimentaire familial ou des conflits familiaux, une faible estime de soi, un indice de masse corporelle (IMC) élevé ou des états dépressifs. La thérapie cognitivo-comportementale s'est révélée efficace dans ce cas. Elle consiste à normaliser le comportement alimentaire, à renforcer l'acceptation de soi, à identifier les déclencheurs des crises alimentaires et à trouver un moyen de les gérer.

D'un point de vue médical, le sevrage à domicile est fortement déconseillé. Le sevrage consiste à libérer le corps de la substance addictive. Selon la substance addictive, de graves symptômes physiques peuvent apparaître. Un sevrage devrait donc toujours être réalisé dans le cadre d'un traitement psychiatrique hospitalier. Il est en outre plus facile de faire face à la maladie en dehors de l'environnement habituel, étroitement lié à la dépendance. En outre, les risques liés au sevrage sans prise en charge sont très élevés.

Les troubles du cerveau en cas de déficit intellectuel sont irréversibles, il ne peut pas y avoir de guérison. Des entraînements et des formations ciblées peuvent apporter des améliorations des performances des facultés cognitives, dans la mesure où les besoins individuels des personnes concernées sont pris en compte. Ils apportent une augmentation des capacités mentales générales ainsi qu'une stabilisation des connaissances acquises. Une intelligence ‘normale’ ne peut cependant pas être obtenue malgré ces efforts.

L'objectif d’une thérapie est de développer au maximum les compétences existantes, afin que les contraintes quotidiennes puissent être gérées partiellement ou presque totalement par la personne concernée.

Bien que la psychothérapie soit considérée comme le premier choix dans le traitement des troubles anxieux, des médicaments peuvent être utilisés dans certains cas. C’est notamment le cas lorsque les personnes concernées sont si gravement atteintes qu’une psychothérapie n’est pas possible dans un premier temps ou qu’une psychothérapie n’a pas donné les résultats escomptés. En général, on utilise alors des antidépresseurs qui contribuent à réduire les angoisses et les phobies et à améliorer assez rapidement l’humeur des personnes concernées. Les benzodiazépines, également connues sous le nom de "tranquillisants", constituent une autre possibilité, pouvant rapidement dissiper l’anxiété, mais ne constituant pas une solution permanente et ne guérissant pas non plus le trouble anxieux. Les médicaments sont exclusivement délivrés dans le cadre d’un traitement et ne doivent jamais être pris sans surveillance médicale.

Les somnifères, même à base de plantes, ne devraient jamais être pris sans surveillance médicale, ni sur une longue période. Le risque de dépendance est très élevé. Même les médecins n'utilisent généralement les somnifères que comme solution intermédiaire à court terme. Chez les personnes en bonne santé, le rythme naturel du sommeil et de l'éveil se régule de lui-même : c'est pourquoi l'objectif premier en cas de troubles du sommeil est d'identifier la maladie qui en est la cause et de la soigner.

Lors d'un sevrage à l’alcool, des symptômes de sevrage physiques, d'une part, et psychiques, d'autre part, peuvent apparaître. Les symptômes physiques les plus fréquents sont les tremblements, la transpiration, l'agitation, les nausées, les maux de tête, les troubles du sommeil, l'augmentation de la pression artérielle et les convulsions.

Une forme particulièrement grave de symptôme est le delirium tremens lié à l'alcool (« délire alcoolique »), qui se caractérise par des troubles de la mémoire à court terme, de l’hyperventilation, un dérèglement du système cardio-vasculaire ainsi que par des troubles de la conscience pouvant aller jusqu'au coma. Cette complication potentiellement mortelle peut survenir lorsqu’une consommation d'alcool longue et régulière est brusquement arrêtée.

Les symptômes psychologiques du sevrage comprennent des états dépressifs, de l'anxiété, des problèmes de concentration, des sautes d'humeur et de l'agressivité.

Le sevrage alcoolique devrait toujours se faire sous surveillance médicale.