Frequently asked questions
Diagnostic
Au moment de la ménopause (le « climatère »), l'équilibre hormonal des femmes se modifie et leur phase de vie fertile prend fin. La production des hormones sexuelles, les œstrogènes et la progestérone, diminue. Ce bouleversement entraîne d'une part des phases de sommeil profond plus courtes, et d'autre part des bouffées de chaleur fréquentes, qui peuvent également survenir la nuit. Ces deux phénomènes peuvent fortement perturber le sommeil.
L’agitation mentale et les sautes d'humeur sont également fréquentes à la ménopause. Les changements internes et externes importants de cette phase de la vie provoquent un stress chez de nombreuses femmes. Tous ces éléments peuvent favoriser les troubles du sommeil. L'âge exerce également une influence : le corps produit moins de mélatonine (l'hormone du sommeil), et la profondeur du sommeil diminue également.
En jouant à des jeux informatiques, les mécanismes sont similaires à ceux de la consommation d'autres substances addictives : le gain au jeu active le centre de récompense du cerveau. Ce sentiment de bien-être ainsi généré donne envie de le revivre encore et encore. Avec le temps, une tolérance se développe, de sorte que la dose – c'est-à-dire le jeu – doit être augmentée. Comme pour d'autres substances addictives, le patient perd le contrôle. La priorité est donnée au jeu, et l'école, les études et la famille sont négligées. De plus, les jeux à succès actuels sont construits selon des modèles qui lient les utilisateurs au jeu sur le long terme. Ils ne sont par exemple jamais terminés. L'environnement de jeu change souvent, de sorte qu'il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir. Les jeux distribuent des récompenses, mais les joueurs ne savent pas quand. Lorsqu’ils sont sous forme de jeux d'équipe, ils créent une obligation sociale. Le niveau de difficulté est adapté aux joueurs, ce qui permet de remporter des succès qui motivent la poursuite du jeu. Chaque phase de jeu intensive ne dissimule pas une addiction. Depuis 2019, le « trouble du jeu vidéo » est toutefois reconnu comme une maladie par l'OMS, ce qui en facilite le diagnostic et le traitement.
L'indice de masse corporelle (IMC) indique le rapport entre la taille et le poids. Une valeur comprise entre 18,5 et 24,9 est considérée comme normale. Une valeur inférieure à 18,5 est considérée comme une insuffisance pondérale, et une valeur inférieure à 14,5 comme un danger potentiellement mortel.
Même si l'IMC ne peut pas fournir une classification définitive et précise en matière de santé, il est un bon indicateur des extrêmes. À l’opposé d’un poids extrêmement faible, un surpoids important peut également mettre la vie en danger – même si cette situation est moins grave. Un IMC supérieur à 30 est considéré comme une surcharge pondérale sévère qui devrait être réduite.
Les peurs et les phobies peuvent avoir des causes très différentes qui, ensemble, peuvent déclencher la maladie. En font partie la prédisposition au sein de la famille, les expériences vécues dans la petite enfance, les expériences traumatisantes, les situations de stress ou différents troubles de la personnalité. Les peurs et les phobies peuvent également être causées par des maladies organiques, par exemple des maladies du système cardio-vasculaire, des voies respiratoires, des troubles de la glande de la thyroïde ou des modifications pathologiques des nerfs du cerveau.
Les causes possibles des troubles du sommeil sont multiples. Des causes physiques et psychiques, certains médicaments, l'environnement du sommeil, le mode de vie ou encore certaines phases de la vie sont à considérer.
Les causes physiques les plus fréquentes sont par exemple les arrêts respiratoires nocturnes (à savoir l’apnée du sommeil), l'agitation des jambes (le syndrome des jambes sans repos), les syndromes douloureux ou les troubles du système cardiovasculaire. Les troubles du sommeil accompagnent également certaines maladies psychiques, comme les dépressions, les angoisses ou la bipolarité.
En outre, le bruit, le travail en équipes, le bruxisme, la consommation de drogues ou d'alcool, le somnambulisme ou les circonstances particulières de la grossesse et de la ménopause sont des déclencheurs fréquents. L'influence des soucis, du stress et des événements stressants sur le sommeil ne doit pas être sous-estimée.
Les déficits intellectuels sont souvent dus à des problèmes et des mutations génétiques. Ils peuvent également être causés par des problèmes avant, pendant et après la naissance, par exemple un accouchement prématuré ou un traumatisme à la naissance. La consommation de drogues, de médicaments ou d’alcool pendant la grossesse peuvent également être un facteur déclenchant. D'autres troubles comme des défauts de développement cérébral et des infections peuvent apparaitre. Dans de nombreux cas cependant, la véritable cause n’est pas connue.
Tout changement de comportement alimentaire n'est pas forcément le signe d'une maladie. Manger moins peut par exemple être une réaction au stress, ou encore au deuil. La réduction pathologique de l'apport alimentaire dans le cadre d'une anorexie se manifeste principalement par les facteurs suivants:
- Les personnes concernées se préoccupent trop de la nourriture
- Leur comportement alimentaire est marqué par une autosurveillance extrême
- Ils comptent constamment les calories et se pèsent tous les jours (même plusieurs fois)
- Ils mangent lentement
- Ils boivent beaucoup d'eau pour remplir leur estomac - Ils trouvent des excuses pour ne pas manger en société, ou lorsque cela se produit pour éviter d’ingérer les aliments (ex. : « j'ai déjà mangé »).
- Ils maigrissent fortement
- Ils font du sport à outrance
- Ils se trouvent trop gros malgré un poids visiblement insuffisant
- Ils ont des difficultés à se concentrer, perdent leurs cheveux, leur peau est sèche et ils ont froid.
- Ils développent un duvet de type lanugo (sur le visage)